Réalisateur de l'année : Steven Spielberg
A quelques semaines d'intervalle, Spielberg a sorti deux des meilleurs films de l'année, deux grands films tellement différents. Le premier, dans la veine humaniste du réalisateur, est un chef d'oeuvre politique et féministe, le second est une célébration jubilatoire de la pop culture (avec la scène peut-être la plus hallucinante de l'année, à l'intérieur du film Shining). Bref, pour moi pas de doute, Spielberg mérite le titre de réalisateur de l'année !
Ma critique de Pentagon Papers
Ma critique de Ready Player One
Cinéma français
Un grand film sur la foi et le doute, qui pose finalement plus de question qu'il ne propose de réponses. Passionnant, juste et respectueux. Ma critique.
Jusqu'à la garde (de Xavier Legrand)
Un drame familial filmé comme un thriller. C'est glaçant, haletant, formidablement réalisé et interprété. Un film incontournable. Ma critique.
Les chatouilles (d'Andréa Bescond)
Sur le sujet grave de la pédophilie, un film bouleversant, traité avec originalité et force, animé d'une énergie folle. Ma critique.
Cinéma américain
Un drame poignant et passionnant, qui parle de violence, de justice, de colère et de plein d'autres choses encore. Frances McDormand géniale et Sam Rockwell extraordinaire. Ma critique.
Hostiles (de Scott Cooper)
Un grand western, crépusculaire, hanté par la mort et les remords. Ma critique.
L'île aux chiens (de Wes Anderson)
Une fable politique et caustique, pour un génial film d'animation en stop motion. Ma critique.
First Man (de Damien Chazelle)
Un biopic qui est une réussite totale, immersive et intimiste. Le voyage jusqu'à la Lune est un grand moment ! Ma critique.
Wildlife (de Paul Dano)
Un formidable drame familial sobre et cruel, teinté de mélancolie. Ma critique.
Cinéma d'autres pays
Un film contemplatif, à la beauté formelle sidérante. Lumineux, tout simplement. Ma critique.
L'insulte (de Zias Doueiri)
Une banale insulte devient une affaire d'Etat. Un film fort, humaniste, universel. Ma critique.
Cold War (de Pawel Pawlikowski)
Un drame épuré, dense, d'une grande force, gorgé de musique. Du cinéma d'orfèvre. Ma critique.
Deux OVNIS
The Disaster Artist (de James Franco)
L'histoire de Tommy Wiseau, réalisateur de The Room, le plus grand nanar de tous les temps. Une comédie surréaliste mais vraie ! Ma critique.
Au poste ! (de Quentin Dupieux)Un hommage déjanté aux films noirs français des années 70-80. Un chef d'oeuvre absurde et surréaliste. Ma critique.
Sur Netflix
Roma (d'Alfonso Cuaron).
Chronique familiale et portrait de femmes, une fresque intime, ample et grandiose, un chef d'oeuvre envoûtant aux images sublimes. Ma critique.
Annihilation (d'Alex Garland)
Un récit fascinant et complexe, à la portée métaphysique évidente. De l'excellente SF, ambitieuse et inventive. Ma critique.
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Allez, maintenant on remet ça pour 2019 ! :)
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