Un film un peu foutraque voire brouillon parfois, mais ce petit côté chaotique dit bien quelque chose de la quête du couple au centre de l'histoire. A partir d’un pitch assez classique, le récit est très contemporain dans les problématiques qu'il aborde autour du couple et des rapports femmes-hommes. Le film raconte cette histoire d'une façon originale, très vive, parfois de manière assez crue, avec des dialogues bien écrits.
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Est-ce une comédie mélancolique ou une tragédie ironique ? On hésite… mais ce qui est sûr c'est que c'est un film facétieux. Nanni Moretti s'amuse à entretenir le doute… et nous laisse finalement choisir. Quel que soit le regard qu'on porte sur le film et son histoire, il en ressort une foi intacte dans le pouvoir du cinéma, en tout cas d'un certain cinéma, de nourrir les utopies.
C'est un peu un Indiana Jones à l'ancienne que nous propose James Mangold, et ce n'est pas pour nous déplaire ! On retrouve avec plaisir les ingrédients incontournables de la saga : de l'aventure et de l'action à gogo, avec des courses poursuites abracadabrantesques, de l'humour, la quête d'un artefact antique auquel on prête des pouvoirs extraordinaires… et des nazis !
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Une fantaisie burlesque et absurde des plus réjouissantes, qui joue sur le comique de situation et des dialogues savoureux. Mais derrière la comédie absurde et déjantée se cache une fable douce-amère sur le sens de la vie. Comment comprendre la vie, la mort, comment vivre le deuil, découvrir ou redécouvrir l’amour ? Sommes-nous seuls dans l'univers ? Et Dieu dans tout ça ?
Ce qui frappe d’abord dans le film, c’est le remarquable travail de reconstitution de l'Italie du XVIIIe siècle. Et puis il y a surtout la musique, très belle, est très présente tout au long du film, avec de nombreuses et belles scènes de concerts au théâtre. C'est finalement elle le personnage principal du film et c'est tant mieux !
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Une jolie parabole sur l'accueil et la tolérance, un film d'animation pour toute la famille, qui bénéficie du savoir-faire Pixar. On aurait pu, certes, espérer un peu plus d'audace et de folie… ça reste quand même très sage ! Mais c'est avant tout un film pour toute la famille, qui a aussi de très jolis moments d'émotion.
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Véritable auscultation d’un couple, le film fait preuve d'une remarquable économie de moyens et d'une pudeur toute japonaise. Le récit n’est jamais intrusif et toujours à une juste distance. C’est très finement observé. Love Life parle de l’amour et de la vie, tous deux en proie à l’incertitude et la fragilité.
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Le scénario est bancal, avec une nouvelle utilisation pénible du multivers et du voyage dans le temps, mais aussi des effets spéciaux pas terribles, et même souvent franchement moches. Le film en devient fatigant et interminable…
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★★★★
Sous la forme d'un vrai faux documentaire, le film mélange animation en technique de stop motion et prises de vue réelles : un exploit technique parfaitement réalisé. L’histoire qui nous est racontée est évidemment totalement improbable… mais elle fonctionne à merveille, pour peu qu'on garde son âme d'enfant !
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Une chronique immobilière facétieuse et drôle, qui prend un peu la forme d’un film à sketchs, avec ses limites mais aussi son charme. Et surtout, on retrouve avec grand plaisir la touche poétique et lunaire de Bruno Podalydès, pleine de tendresse et de mélancolie, un ton ironique et bienveillant à la fois.
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Le film va un peu trop vite. On enchaîne les épisodes de la vie de Marinette sans prendre le temps qu'il faudrait, parce qu'il faut tout raconter : son chemin personnel de résilience, les violences familiales, le statut des footballeuses en France, la condition et les droits des homosexuels… Il aurait sans doute fallu choisir !
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Une fable très contemporaine, caustique et cruelle, un film qui remue et crée un malaise certain chez le spectateur. On pense un peu au cinéma de Ruben Ostlund. Mais alors que le suédois tend en général vers la farce, ici on vire au drame, mais toujours saupoudré d'humour noir.
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❤❤❤❤
On attendait le retour de Miles Morales après Spider-Man : New Generation, qui avait renouvelé de façon spectaculaire les adaptations de l’homme araignée sur grand écran. Et on n’est pas déçu : la suite est peut-être encore plus réussie ! Spider-Man : Across the Spider-Verse, c'est tout ce qu'un film de super-héros devrait être : spectaculaire, ambitieux et très divertissant à la fois.
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