mercredi 16 octobre 2024

Sauvages : Une jolie et utile fable écologique, poétique, drôle et engagée

 

Une jolie et utile fable écologique, poétique, drôle et engagée, avec une formidable animation en stop motion. Le récit est à hauteur d’enfant. L’histoire est donc assez simple mais avec de l’aventure, de la tendresse, de l’humour, de la poésie.

(critique complète ci-dessous ou ici)

L'amour ouf : un film généreux et sincère mais maladroit et clinquant

Un film ambitieux, généreux et sincère dans ses intentions… mais le résultat ne m’a pas convaincu. J’ai trouvé le film maladroit et clinquant.

(critique complète ci-dessous ou ici)

Miséricorde : s'arranger avec sa conscience...

 

Sous la forme d’un polar rural, un conte amoral et cynique autour du désir et de la culpabilité. Dans un récit finement orchestré, le film crée un climat trouble, où l’inquiétant s'insinue dans le quotidien, et où les secrets et les non-dits pèsent lourd.

(critique complète ci-dessous ou ici)

jeudi 10 octobre 2024

Niki : Portrait d’une artiste et récit d’une émancipation par l’art

 

Concentré sur quelques années de la vie de Niki Saint-Phalle, le film évoque l'éclosion de l’artiste, qui découvre dans la douleur sa voie créatrice, comme une façon de surmonter la blessure intime et profonde de son enfance.

(critique complète ci-dessous ou ici)

L'histoire de Souleymane : Un moment de vérité et d’humanité blessée qu’on prend en plein cœur


C'est bien à un thriller qu'on assiste, un thriller du quotidien, haletant et sans répit... La dernière partie du film est comme le point d’orgue du récit et offre quelques minutes absolument bouleversantes. Un moment de vérité et d’humanité blessée qu’on prend en plein cœur.

(critique complète ci-dessous ou ici)

The Apprentice : Un portrait sans concession, mordant, drôle... et terrifiant


Evidemment c'est un portrait sans concession de Donald Trump, une évocation de la façon dont il est devenu le personnage et le milliardaire qu’on connaît. Mais le film est aussi un portrait de l’Amérique, d’un certain rêve américain, celui du self made man et d’un capitalisme sans limite.

(critique complète ci-dessous ou ici)

mercredi 2 octobre 2024

Joker - Folie à deux : Une suite inutile...

 


Une suite inutile, qui n’apporte rien au premier film, voire même qui prend un contre pied regrettable par rapport au long-métrage initial.

(critique complète ci-dessous ou ici)

All we imagine as light : beaux portraits féministes, délicats et lumineux

 

Un récit féministe mais sans être militant ou démonstratif. Le film s'écoule, lentement, délicat et plein de douceur, et il devient lumineux dans sa dernière partie, avec quelques accents oniriques, pour laisser poindre un espoir.

(critique complète ci-dessous ou ici)

Quand vient l'automne : mélancolique et ludique, un récit qui joue avec le doute

Le récit est malin et joue beaucoup sur l’ambiguïté et le doute, jusqu’au bout. Le film est un puzzle qu’on essaie petit à petit de reconstituer. Mais, avec les ellipses du récit et les non-dits, il nous manque des pièces !

(critique complète ci-dessous ou ici)

mercredi 25 septembre 2024

Les belles créatures : un récit impressionnant de violence et d'amitié

 

Un film dur mais assez passionnant, qui évoque sans concession la violence chez les adolescents. Petit à petit, le récit se pare de quelques touches fantastiques ou oniriques (on peut les interpréter de différentes façons), qui donnent un ton tout à fait original au film.

(critique complète ci-dessous ou ici)