Certes, les deux jeunes acteurs principaux ont des têtes assez sympathiques, il y a bien quelques gags ou répliques amusants… mais le tout est noyé dans une barrique assez affligeante d'humour potache et franchouillard qui, à vrai dire, m'a un peu saoulé… Ca riait quand même dans la salle. Je pense donc que ce n'est pas mon genre d'humour…
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Un conte tragique autour de l'amour, de la liberté et du poids des traditions. Car Banel et Adama s'aiment, profondément, et ils rêvent de liberté. Ils refusent de se laisser enfermer dans les rôles qu'on veut leur assigner, au nom de la culture, des coutumes ou de la religion. [...] Le récit oscille entre naturalisme et onirisme, dans un rythme lent et contemplatif, avec une très belle photographie.
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★★★★
Un très joli récit sur l'enfance, très vrai et touchant, filmé avec beaucoup de tendresse et de douceur, et qui explore avec finesse les liens d'amour filial et maternel de substitution, qui peuvent être au moins aussi forts que ceux issus des liens biologiques. [...] Et puis il faut absolument mentionner la toute jeune Louise Mauroy-Panzani, qui est incroyable dans le rôle de Cléo.
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Une savoureuse comédie italienne, délicieusement légère, avec une joyeuse bande de vieux qui ont la pêche. C'est une vraie bouffée de fraîcheur anti-jeunisme qui met de bonne humeur, une histoire pleine de bienveillance, de tolérance et d'optimisme. (...) Impossible de sortir de la salle sans le sourire aux lèvres !
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Le film, qui se veut une fable caustique sur le milieu de l'art contemporain, a du mal à démarrer… tellement même qu'il ne démarre jamais vraiment. Le récit cherche à entretenir un suspense et créer un effet de surprise mais tout cela tombe à plat, d'autant que tout est déjà dit dans le pitch et la bande annonce ! (...) Il reste quand même une assez jolie histoire d'amitié et de loyauté...
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Un film de procès, c'est toujours un peu casse-gueule. Il peut vite devenir bavard ou didactique. Justine Triet échappe brillamment à ces écueils en ne se laissant pas enfermer dans le procès lui-même. (...) Elle joue aussi la carte de la subjectivité, usant de hors-champs et de contre-champs intelligents (...) A cet égard, le film est passionnant quant aux questions qu'il pose dans notre rapport à la vérité.
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Un film passionnant, qui propose une expérience assez troublante : assister à un interrogatoire du FBI comme si on y était. En effet, tous les dialogues du film sont authentiques, ils sont la transcription mot pour mot des échanges qui ont eu lieu pendant le véritable interrogatoire de Reality. (...) La mise en scène de Tina Satter est habile et immersive, nous plaçant aux côtés de Sydney et créant le trouble.
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Un très beau film, qui s'écoule lentement, mélancolique, avec une réelle profondeur existentielle. C’est un véritable film testament pour son réalisateur, âgé de 83 ans, qui parle de mémoire et d'identité, et qui constitue aussi une ode nostalgique au cinéma. (...) La réalisation est d'une grande sobriété, ce qui n'empêche pas le récit d'être parfois bouleversant, comme dans la séquence finale, sublime.
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Un faux film de science-fiction pour une vraie fable sur notre vie en société. Le concept de départ est malin, et il est fort bien développé par le scénario qui réserve son lot de rebondissements et propose une évocation assez fine des interactions sociales, exacerbées par un contexte d'enfermement, et brouillées par un voyage spatial par procuration. C'est original, souvent très drôle et surprenant.
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Un film qui tranche un peu avec la production habituelle de Quentin Dupieux, tant sur la forme que sur le fond, même s'il s’inscrit bien dans le prolongement de sa filmographie. On n'y retrouve pas son esthétique habituelle, avec cette fois un dispositif très sobre voire minimaliste. Et on est moins dans la farce absurde et surréaliste que dans la satire lunaire, à la fois caustique et tendre.
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