Le film, qui se veut une fable caustique sur le milieu de l'art contemporain, a du mal à démarrer… tellement même qu'il ne démarre jamais vraiment. Le récit cherche à entretenir un suspense et créer un effet de surprise mais tout cela tombe à plat, d'autant que tout est déjà dit dans le pitch et la bande annonce ! (...) Il reste quand même une assez jolie histoire d'amitié et de loyauté...
(critique complète ci-dessous ou ici)
Arthur Forestier est propriétaire d’une galerie d’art où il expose les oeuvres de son ami Renzo Nevi, un peintre en pleine crise existentielle et qui ne vend plus une toile. Aigri et ingérable, Renzo sombre peu à peu. Arthur a alors une idée pour relancer les ventes de son ami : faire croire à sa mort.
Le film, qui se veut une fable caustique sur le milieu de l'art contemporain, a du mal à démarrer… tellement même qu'il ne démarre jamais vraiment. Le récit cherche à entretenir un suspense et créer un effet de surprise mais tout cela tombe à plat, d'autant que tout est déjà dit dans le pitch et la bande annonce ! Après le twist attendu - et qui tarde à arriver - on croit qu'il va se passer quelque chose de surprenant… mais non. Fausse alerte. Et l'histoire se termine de façon convenue.
Le côté fable critique sur le petit monde de l'art ne tient donc pas vraiment la route et déçoit. Mais il reste quand même une assez jolie histoire d'amitié et de loyauté, incarnée par deux acteurs qu'on aime beaucoup, Bouli Lanners et Vincent Macaigne. Espérons qu'on les retrouve ensemble dans un film plus convaincant...
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