Le film adapte une nouvelle de Stephen King, et pourtant on est très loin de l’épouvante. Il s’agit plutôt d’une fable existentielle doucement teintée de fantastique et profondément émouvante. Un film merveilleux, dans tous les sens du terme.
(critique compplète ci-dessous ou ici)
Qui est Charles “Chuck” Krantz ? Un homme ordinaire dont le film nous raconte la vie extraordinaire…
Le film adapte une nouvelle de Stephen King, et pourtant on est très loin de l’épouvante. Il s’agit plutôt d’une fable existentielle doucement teintée de fantastique et profondément émouvante. Un film merveilleux, dans tous les sens du terme.
Il faut en dire le moins possible sur l’intrigue pour ne pas gâcher la découverte. Disons simplement que le récit, dans un réjouissant mélange des genres, nous transporte dans la vie et dans la tête de Chuck.
C’est un film généreux, ambitieux, un peu dans l'esprit d’un Spielberg. Un film qui invite à l’émerveillement, et à discerner, parfois dans de petits détails du quotidien, ce qui relève du miracle et ce qui mérite d'être vécu.
Le récit, en trois chapitres, commence par la fin. Le plus long est le troisième chapitre mais les deux premiers sont essentiels à l’histoire. Il y a une certaine dimension ludique à retrouver les différents éléments du premier chapitre, des personnages, des objets, des événements, dans les deux suivants. Mike Flanagan est décidément un formidable conteur.
Il faut simplement se laisser gagner par l’émotion pour pleinement profiter d’un film qui fait du bien, et qui nous laisse finalement avec les yeux humides, le sourire aux lèvres, et la tête pleine d’étoiles.
Et tout ce qu’on a envie de dire, c’est merci Chuck !
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