Certes, la reconstitution historique est minutieuse, les acteurs sont bons, mais le film ne décolle jamais vraiment. J’ai trouvé que c’était mou, assez poussif dans le récit. Et lorsque ça s’accélère, à la fin, c’est pour un dénouement assez abracadabrantesque...
(critique complète ci-dessous ou ici)
Paris, en 1941. Devant les menaces qui s’intensifie pour les Juifs, Joseph Haffmann, bijoutier, décide d’organiser la fuite de sa femme et ses enfants en zone libre, promettant de les rejoindre. Il propose à François Mercier, son employé, de lui céder sa bijouterie et qu’il la récupère une fois la guerre terminée. Mais Joseph ne parvient pas à quitter Paris. François Mercier décide alors de le garder caché dans la cave…
Adapté de la pièce de théâtre éponyme de Jean-Philippe Daguerre, le film dresse le portrait d’un collaborateur sous l’Occupation, ou plutôt d’un homme qui devient un salaud par peur ou par lâcheté.
Certes, la reconstitution historique est minutieuse, les acteurs sont bons, mais le film ne décolle jamais vraiment. J’ai trouvé que c’était mou, assez poussif dans le récit. Et lorsque ça s’accélère, à la fin, c’est pour un dénouement assez abracadabrantesque réglé en deux temps trois mouvements.
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