Un joli film, plein de douceur et de tendresse, drôle et émouvant. La musique est certes trop présente, et assez sirupeuse, mais le récit, lui, reste sobre et pudique.
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Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
Un joli film, plein de douceur et de tendresse, drôle et émouvant. La musique est certes trop présente, et assez sirupeuse, mais le récit, lui, reste sobre et pudique.
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Une façon audacieuse d’évoquer l’histoire et la culture afro-américaine, la ségrégation et le racisme, par le biais du film de genre, en l’occurrence le film de vampire. C’est sanglant, viscéral et gore. Ça déménage, et ça ne manque pas de panache !
Une comédie sociale doucement sarcastique. Sur le ton de la fable, forçant un peu le trait, le film s’amuse à chambouler les conventions de genres avec un regard moqueur.
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Une ode au pastoralisme, avec une certaine idée du rapport à la nature, ni idyllique ni désenchanté. Cette chronique rurale et montagnarde, qui touche par sa simplicité et son authenticité, s’enrichit aussi de plusieurs niveaux de lecture possible.
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Un film perturbant, dans un magnifique écrin noir et blanc. Le récit est éprouvant, et évoque la misère humaine, dans toute sa noirceur.
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Autour d’une famille atypique, Mikado est un joli film, qui trouve le ton juste, sensible et pudique, sans pathos, pour raconter cette histoire qui interroge la parentalité, la normalité et les blessures de l'enfance.
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L’intention initiale, intéressante, se perd dans la surenchère, le mauvais goût et des longueurs du scénario qui rendent le film finalement assez fatiguant...
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Un film sur la douleur de vivre, la solitude, la dépression. Un film infiniment triste, mais aussi très beau, qui évoque les souffrances et la détresse qui se cachent parfois derrière les murs d’un pavillon de banlieue paisible…
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Librement inspiré de sa propre expérience, Hélène Merlin réalise, pour son premier long-métrage, un film sobre, pudique mais fort, sur le sujet douloureux de l'inceste. Le film est, certes, dérangeant mais nécessaire.
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Un film de samouraï, visuellement splendide, où les duels se jouent autour d’une table de go. Le film revisite le code de l’honneur des samouraïs dans un récit tragique, théâtral et symbolique.
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Le film évoque un sujet important, malheureusement toujours d’une brûlante actualité... Le problème, c’est que dans sa forme, le film n’est pas à la hauteur de son sujet.
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Un film au concept unique et original, un récit hybride mêlant documentaire et fiction, qui se révèle à la fois ludique, touchant et profond. Ludique dans son procédé, touchant par la découverte de vrais gens et de leur destin, profond par les thématiques que le film soulève.
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Un film au ton singulier, entre légèreté et gravité, une chronique familiale pleine de tendresse et de fantaisie, où la part de fiction a pleinement sa place dans l’évocation de l’histoire familiale, et au-delà.
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La première partie du récit, avec Roland jeune et sa mère qui se bat bec et ongle pour son fils, est la meilleure partie du film. Et Leïla Bekhti y est irrésistible. Après, ça se gâte...
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Un thriller historique autour du printemps de Prague, un film choral dans les coulisses de l’histoire, au sein de la rédaction de la radio tchécoslovaque. Ce vibrant hommage aux combattants de la liberté d’expression résonne d’une manière toute particulière aujourd'hui.
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Un exercice de style virtuose et savoureux, un film d’espionnage d’une maîtrise totale avec tous les ingrédients du genre. Et derrière le thriller se cache une véritable histoire d’amour et de fidélité…
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Une comédie dramatique sur un sujet grave, qui se révèle être un road movie doux amer et généreux… mais que j’ai trouvé vraiment trop lisse.
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Une farce futuriste caustique, et une satire politique appuyée et loufoque. Pas le chef d’oeuvre de Bong Joon Ho, ni même son meilleur film de SF, mais cette comédie barrée, parfois assez jouissive et spectaculaire, se regarde avec plaisir.
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Une fable crépusculaire, une sorte de western élégiaque aux allures post-apocalyptiques, dans les paysages lunaires du désert de Gobi, et les ruines d’une ville presque fantôme. D’une beauté formelle sidérante.
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Un thriller convenu et sans surprise. Quand David rencontre Victoria, on comprend tout de suite qu’il va se faire manipuler… et la révélation à la fin du film tombe alors complètement à plat.
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Une déambulation d’une virtuosité sans esbroufe, à la fois introspective et vive, d’une grande liberté, et qui parvient à concilier parfaitement gravité et légèreté.
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Une comédie féroce et engagée, une satire sociale et une fable utopiste qui entend pourfendre les travers du capitalisme, la masculinité toxique et les contradictions de notre époque.
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Un road movie à deux roues, drolatique et tendre. Un film touchant et juste sur le deuil, doublé d’une belle histoire d’amitié.
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Un drame sur le deuil et la jeunesse, autour d’un dilemme douloureux. C’est touchant… même si le film n’est pas parvenu à m'émouvoir comme il aurait sans doute dû le faire.
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Le récit est dérangeant, pour ne pas dire assez glauque, et finit par emprunter aux codes du fantastique, voire du film d’épouvante. Sauf que je n’ai pas eu peur… et que je me suis même un peu ennuyé.
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On ne va pas voir les Tuche en s’attendant à découvrir un chef d'œuvre du septième art ! On espère juste vivre un moment de détente et de franche rigolade, avec des personnages caricaturaux mais sympathiques qu’on aime bien retrouver...
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Une fresque ambitieuse et ample, et pourtant principalement intimiste dans son récit. C’est le paradoxe d’un film qui se présente au premier abord comme la trajectoire classique d’une ascension puis d’une chute mais qui, en réalité, poursuit un but plus profond.
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Un solide thriller corse, aux accents de western, par sa chasse à l’homme dans les paysages sublimes de l'île de beauté. Le film est aussi le récit de la naissance d’un symbole de résistance, dans un film à l’incontestable dimension politique.
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Un film introspectif et contemplatif. Plus qu’un film de guerre, c’est un survival métaphysique en pleine guerre de Sécession, au milieu des magnifiques grands espaces naturels américains.
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Un film de fantôme original, tourné de façon subjective, du côté du fantôme. C'est d’abord un film d’atmosphère, trouble, plutôt contemplatif et introspectif, avant de basculer dans un autre genre et devenir oppressant.
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Une chronique adolescente et rurale d’une belle justesse de ton et d’une réelle finesse d’écriture. Elle propose des portraits nuancés de personnages trimballant leurs failles et leurs blessures, parfois enfermés dans leurs aprioris ou leurs conditionnements sociaux.
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Un thriller journalistique haletant, alors même qu'on connaît déjà l’issue tragique de l’histoire. Tout l’intérêt du film est de vivre cet événement dans les coulisses, en immersion et en quasi huis-clos. Un film vraiment captivant.
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Il s’agit moins d’un biopic qui chercherait à retracer toute la vie de son héros qu’un portrait d’un artiste en quête de liberté, au coeur d’une époque marquée par les tensions de la Guerre Froide et des luttes pour les droits civiques.
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Tout en étant d’une grande sobriété, sans le moindre voyeurisme, le film est d’une grande force dramatique, pour évoquer la question de l’emprise dans le milieu sportif. Le sujet n’est pas nouveau, mais toujours utile ! D'autant que le film propose une approche originale et sensible.
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Avant tout un drame familial, même s’il se construit sur un fond social. On s’intéresse moins à la radicalisation du fils dans un groupe violent d’extrême droite qu’à l’évolution de la relation intra-familiale que cela provoque.
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Une jolie comédie romantique, légère et gentiment piquante. Le film a un charme un peu désuet, teinté d’esprit British.
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Un film cinéphile, personnel et hybride, entre autofiction, documentaire et essai sur le cinéma, avec de nombreux extraits de films. Il explore cette question au coeur de la magie du cinéma : qu’arrive-t-il à la réalité quand elle est projetée ?
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Le récit d’une utopie théâtrale qui tourne court (on le comprend dès la scène d’ouverture) au milieu d’un conflit tragique, absurde et incompréhensible. Le film est toutefois un peu frustrant...
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Leigh Whannell s’attaque à une autre figure incontournable du cinéma de genre : le loup-garou. Et c'est à nouveau très réussi. Il en propose une lecture intime, dans un récit qui a également une dimension métaphorique, notamment autour de la masculinité et de l’héritage familial.
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Une petite merveille de poésie, de mélancolie et de facétie cruelle. Le film navigue avec brio entre gravité et humour, pour aborder de nombreux thèmes existentiels : la mort, la maladie, la solitude, la religion, les addictions…
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Un beau double portrait, plein de délicatesse, d’une jeune femme en quête de ses racines et qui voit dans un dessinateur de bd français le possible père qu’elle n’a jamais connu. De cette rencontre impromptue va naître un lien pudique.
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Une histoire d’amour contrariée, inspirée de la vie même des parents de la réalisatrice. C’est normalement un gage d’authenticité et pourtant le film m’est apparu un peu artificiel.
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Un pur mélodrame, plutôt classique mais maîtrisé, fort bien réalisé. Il est surtout formidablement interprété par deux grands acteurs, lumineux et complices, Florence Pugh et Andrew Garfield, dont l'alchimie est parfaite à l’écran.
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Une comédie noire tout à fait réjouissante, qui a clairement un petit parfum de Fargo. Évidemment, le film n’atteint pas le génie des frères Coen, mais il assume quand même d’aller assez loin dans son côté noir et absurde et ça c’est une bonne nouvelle.
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Bird est une étonnante chronique sociale à la lisière du fantastique, une fable sur l'adolescence et un récit initiatique. Il est question de misère, d’errance et de violences sociales… et d’amour, malgré tout.
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