Derrière son apparence de vaudeville moderne déjanté, Libre échange est en réalité une vraie comédie romantique... Le film est surtout très drôle, avec des accents burlesques des plus réjouissants.
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Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
Derrière son apparence de vaudeville moderne déjanté, Libre échange est en réalité une vraie comédie romantique... Le film est surtout très drôle, avec des accents burlesques des plus réjouissants.
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Un joli film, très touchant mais sans pour autant tomber dans le pathos. Le récit trouve un bel équilibre entre émotion et pédagogie pour évoquer les réalités des personnes souffrant de trouble autistique.
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Un survival intime aux accents apocalyptiques, un road trip métaphysique dans le désert, une sorte de Mad Max hypnotique et méditatif... Mais c’est aussi un film imprévisible, qui réserve quelques chocs sidérants.
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Le film choisit la pudeur et l’épure, les silences et les non-dits, les zones grises, pour traduire la part de mystère qui accompagne tout processus de réparation et de reconstruction après un deuil.
La journée d’une infirmière à l’hôpital aujourd’hui, filmée comme un thriller. C’est à la fois très réaliste et haletant, pour un film profondément humain.
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Une comédie vacharde sur le petit monde de la politique, mais qui se montre surtout lourdingue. On perçoit bien l’intention satirique et burlesque mais ça n’a pas du tout fonctionné pour moi. Je n’ai pas ri une seule fois !
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Un film de fantômes pour le moins étrange et original ! Ça commence en romance lunaire entre un homme et sa femme réincarnée en aspirateur, ça se poursuit en critique sociale caustique pour se terminer en jeu de massacre.
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Un récit de résistance au régime des mollahs, avec l’évocation toujours glaçante de l’oppression en Iran à l'égard des femmes mais aussi et surtout l’hommage au courage de celles qui refusent de se résigner.
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Darren Aronofsky là où on ne l’attendait pas : dans un thriller noir et rock’n roll, plutôt barré. C’est avant tout à un pur divertissement d’action que le cinéaste nous convie et c’est franchement réjouissant.
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Un récit onirique déroutant, assez mal ficelé, et donc difficile à suivre. Mais le film est visuellement étonnant, avec quelques scènes saisissantes.
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L’histoire douce-amère d’un premier amour, un récit d’initiation à l’âge adulte, où l’apprentissage de l’amour et l’apprentissage de soi sont douloureux, face au regard des autres, à la pression sociale et aux a priori.
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Une fable horrifique et grinçante sur le couple. On peut y percevoir un écho biblique évident. C’est la formule de la Genèse à propos du couple : les deux deviendront une seule chair… mais comprise littéralement, en version body horror.
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La surprise de l’été, une vraie petite pépite qui parvient à renouveler un procédé qu’on pouvait penser éculé : la boucle temporelle. Il s’agit en effet d’un effet classique en science-fiction mais il est traité ici de façon originale.
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Un film de super-héros classique, presque à l’ancienne (ce qui est plutôt un compliment) : il y a des bons et des méchants, de l’héroïsme et de la solidarité, avec comme thématique centrale, évidemment, la famille.
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Un premier film très personnel, tant par son sujet que par le ton original qu'il adopte. Un long-métrage vraiment attachant, plein d’humanité. Et la découverte d’une nouvelle cinéaste à suivre !
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Un étonnant mélange entre le film de requin et le film de serial killer, pour une série B efficace et sanglante, pleine d’ironie… mordante.
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Juste, sensible, énergique et drôle, visiblement inspirée du vécu du réalisateur, Didi est une très jolie chronique sur l’adolescence. Une adolescence normale.
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Un polar plutôt solide, de facture assez classique, mais qui ménage un joli suspense dans sa dernière partie. L’originalité du film est dans le fait de vivre l’enquête aux côtés de journalistes d’investigation.
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Une satire de l’Amérique d’aujourd'hui, sous la forme d’un Western contemporain et chaotique, qui pousse assez loin tous les curseurs. C’est très cynique… mais aussi très premier degré, avec finalement peu d’humour.
Un film sensible et pudique. Toutefois, à force d’ellipses et de non-dits, le récit manque un peu de matière et reste un peu trop à distance de ses personnages.
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Tout simplement un OVNI, à l’image de son acteur et réalisateur, Raphaël Quenard. L’histoire démarre avec le vrai tournage d'un making of, et puis ça évolue vers une vraie-fausse autofiction...
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Le Superman de James Gunn est pop et très fun… mais aussi politique ! Le film se souvient que Superman est une icône de la pop-culture et il le fait de façon très fun, avec beaucoup d’humour, de nombreux clins d'œil, du rythme et de l’action spectaculaire.
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Un divertissement efficace et spectaculaire, et il ne s’agit sans doute pas d’en attendre beaucoup plus pour un septième film d’une franchise, inégale, qui a été initiée par Spielberg. Gareth Edwards aime filmer les monstres et il le fait très bien.
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Une comédie facétieuse sur la famille, un récit qui sent le vécu ! C’est un film vif et joyeux, qui a beaucoup de charme mais aussi pas mal de mélancolie, pour un portrait très juste de la famille, comme une aventure chaotique et tendre.
Une comédie noire, très noire, dans la veine méchante de Quentin Dupieux. En maître de l’absurde, il nous emmène dans un thriller lunaire et cruel, aux accents parfois horrifiques, pour un portrait acide de notre société connectée.
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Le grand déplacement, c'est un peu Tout simplement noir… mais en beaucoup moins drôle. En effet, si l’histoire est différente, ce sont finalement les mêmes thématiques qui sont abordées mais de manière moins incisive.
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Blockbuster à la gloire de la F1, produit notamment par Lewis Hamilton et réalisé par le réalisateur de Top Gun Maverick, F1 Le film, c’est un peu Top Gun mais sur quatre roues… alors forcément ça ne vole pas très haut.
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Avec une belle énergie, un ton assez espiègle, quelques clins d’œil et quelques parenthèses pédagogiques qui brisent le quatrième mur, le film est un véritable éloge de l’improvisation.
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Une fable post-apocalyptique macabre et punk. C'est assez flippant, passablement gore, mêlant le film de zombie au body horror. Ca déménage ! La virtuosité du réalisateur s’allie avec bonheur à la patte scénaristique d’Alex Garland.
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Un film à l'ironie mordante, qui cultive sa bizarrerie. Il y a de l’absurde, du burlesque, pour une satire grinçante d’une société obsédée par les apparences et les faux-semblants, et où tout s’achète.
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Une comédie romantique sympathique, au cœur du festival off d’Avignon. Comme toutes les comédies romantiques, le récit est bien balisé et le dénouement sans surprise mais la saveur vient des personnages.
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Le film adapte une nouvelle de Stephen King, et pourtant on est très loin de l’épouvante. Il s’agit plutôt d’une fable existentielle doucement teintée de fantastique et profondément émouvante. Un film merveilleux, dans tous les sens du terme.
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Une fable contemporaine, noire et grinçante, avec un scénario habile et tortueux, redoutablement efficace. Un thriller psychologique qui pose de nombreuses questions complexes et passionnante.
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Une chronique policière et familiale réaliste et sombre, dans la terre ocre du Cameroun, où Thomas Ngijol opère, devant et derrière la caméra, une étonnante transformation.
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Une comédie légère, maligne, tendre et bien enlevée. L'intrigue développe bien l’idée de départ, ménage des quiproquos et des moments savoureux.
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Un face-à-face qui avait tout pour être stimulant. Toutefois, malgré quelques joutes verbales intéressantes, l’ensemble est quand même bien trop bavard.
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Une fable sociale violente sur les dérives de l’économie numérique et de l'hyperconnexion, sous la forme d’un thriller froid et cynique.
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Un beau film, un récit sensible et positif, malgré les douloureux parcours qu’il évoque. Le film porte un regard plein de compassion sur ces jeunes mères, un regard qui refuse tout jugement.
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Un fascinant récit fantastique, très original et personnel. C’est beau et inquiétant à la fois, poétique et monstrueux. Une fable philosophique sous la forme d’un body horror onirique. C’est un film conceptuel et expérimental, qui produit un véritable effet hypnotique.
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Une comédie multiforme, typiquement Wes Andersonien. C’est à la fois un film d’espionnage burlesque, une fable politique et sociale grinçante... et un récit assez mélancolique sur la famille.
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Le film est trop sérieux, trop long, avec des dialogues souvent assez pathétiques, le tout couronné par un épilogue qui frise le ridicule dans sa grandiloquence. Mais il y a deux morceaux de bravoure qui sauvent (un peu) le film.
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Un feel-good movie à la française, sous la forme d’une fantaisie nostalgique. C’est un film qui assume sa légèreté et dont l’intention est avant tout de faire du bien. Ce qui ne veut pas dire qu’il n’est pas fait avec sérieux.
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Un solide thriller urbain, en immersion dans la communauté tamoule à Paris. Un cocktail efficace d’action à la violence stylisée et de découverte d’une communauté mal connue.
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Le film décrit le chaos de façon immersive et hyper tendue. Mais aussi de façon neutre, sans véritable point de vue. On se retrouve ainsi vraiment au milieu de ce chaos, un peu perdu. Et l'effet est saisissant.
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Un film angoissant, paranoïaque et sombre, qui ne lève pas tous ses mystères. C’est un film de genre, fantastique et d’épouvante, qui réserve quelques scènes choc, pour un propos symbolique et féministe.
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Inspiré d’un fait réel tragique, une plongée intime aux accents oniriques dans le traumatisme d’un adolescent face à la barbarie.
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