Une satire sociale plutôt réussie, sous la forme d’une fable dystopique et rétro-futuriste loufoque, qui entend dénoncer la déshumanisation de notre société.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Dans un futur “un peu trop proche” les humains dépendent des robots. Max, une ancienne prof, est réfractaire à la technologie et en résistance. Elle vit avec sa fille grâce à de petites combines. Alors qu’elle essaye de revendre un robot qu’elle a volé, tout dérape et elle se retrouve flanquée de ce même robot pour essayer de récupérer sa fille qu’on lui a enlevée.
Un monde merveilleux est une satire sociale plutôt réussie, sous la forme d’une fable dystopique et rétro-futuriste loufoque, qui entend dénoncer la déshumanisation de notre société.
Le film nous embarque dans un road movie avec un duo improbable formé d’une ancienne prof anti-système et d’un robot naïf et sans filtre. Ça crée évidemment des quiproquos et des situations comiques. Le tout est amusant, certes un peu convenu parfois, mais avec quelques punchlines bien trouvées.
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