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Toute la famille est réunie pour un véritable conte de Noël, Père Noël compris. Et les Tuche sont fidèles à eux-mêmes dans cette fable sociale loufoque et généreuse autour du consumérisme. C’est caricatural et forcément inégal, les gags ne fonctionnent pas toujours, c’est même un peu naïf, avec plein de bons sentiments… mais avec les Tuche, ça passe !
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Après avoir démissionné de son poste de président de la République, Jeff Tuche et sa famille retournent dans leur cher village de Bouzolles. A l’approche des fêtes, Cathy demande à son mari de pouvoir renouer les liens avec sa soeur Maguy. Mais le problème, c’est Jean-Yves, son mari, avec qui Jeff est fâché depuis dix ans. Pour contrer son beau-frère, manager chez Megazone, le géant de la distribution sur Internet, Jeff va racheter une petite usine de jouets en bois, avec l’aide des habitants de Bouzolles. Il trouvera aussi une aide précieuse auprès de Pierre Noël, qui vient de s’installer dans la région.
Voici donc le retour des Tuche pour un quatrième épisode de leur saga franchouillarde ! Toute la famille est réunie, jusqu’au petit-fils, pour un véritable conte de Noël, Père Noël compris. Et les Tuche sont fidèles à eux-mêmes dans cette fable sociale loufoque et généreuse autour du consumérisme. C’est caricatural et forcément inégal, les gags ne fonctionnent pas toujours, c’est même un peu naïf, avec plein de bons sentiments… mais avec les Tuche, ça passe ! Parce qu’on aime bien cette famille un peu foldingue, parce que Jean-Paul Rouve et sa moumoute moussue est toujours impayable, et parce qu’on rit quand même souvent grâce à leurs péripéties et leurs punchlines absurdes et comiques. Et Michel Blanc s’intègre parfaitement à la famille avec son personnage de beau-frère insupportable.
Pas plus que les trois premiers films, Les Tuche 4 n’est pas un chef d’oeuvre… mais ce n’est pas ce qu’on attend en allant voir le film. On s’attend à passer un moment de bonne humeur avec des personnages auxquels on s’est finalement attachés. Et là, c’est mission accomplie !
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