Une histoire toute simple racontant la rencontre de deux solitudes. C'est un film qui n'est pas désagréable à regarder, dont on perçoit bien la portée métaphorique et l'invitation à aller au-delà des apparences et des premières impressions… mais qui ne m'a pas pour autant passionné.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Laura est une jeune finlandaise qui prend le train à Moscou pour se rendre sur un site archéologique à Mourmansk, au bord de la mer arctique. Elle va devoir faire tout ce long voyage dans le même compartiment qu’un inconnu, un jeune russe qui se rend lui aussi à Mourmansk mais pour trouver du travail dans une mine.
Compartiment n° 6 est une histoire toute simple racontant la rencontre de deux solitudes. C'est un film qui n'est pas désagréable à regarder et dont on perçoit bien la portée métaphorique (le voyage pour parler d’un itinéraire intérieur) et l'invitation à aller au-delà des apparences et des premières impressions… mais qui ne m'a pas pour autant passionné.
Honnêtement, je ne comprends pas vraiment l'engouement de la critique pour ce film (Grand Prix à Cannes !) que j'ai trouvé assez morne et monotone, à quelques exception près, comme pour ce qui est peut-être la meilleure scène du film, en dehors du train, au milieu du film, une escapade nocturne qui conduit les deux personnages principaux chez une petite dame étonnante.
A noter tout de même au crédit du film, deux très bons acteurs : Seidi Haarla et, peut-être encore plus, Yuriy Borisov.
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