Le chemin d’une jeune femme adoptée toute petite, en quête de ses racines et de son identité. Mais son parcours est chaotique, entre actes manqués, hésitations, refoulement, fuite, attitudes autodestructrices, attente et espoir… Un récit imprévisible, un peu comme l'héroïne du film.
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On s’attache vite à cette famille formidable, avec son brin de fantaisie, ce qui fait dire à certains qu’elle n’est pas tout à fait normale. Et heureusement ! Un film drôle et émouvant, plein de fantaisie et d’optimisme dans son évocation de la famille, la solidarité et la façon de trouver sa voie. C’est tout simplement un film qui fait du bien !
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Une tranche de vie rurale en Espagne, aujourd'hui. Le récit adopte une approche naturaliste, quasi-documentaire, pour un film social et politique qui décrit le quotidien d'une famille de paysans qui finissent par être à bout, n'arrivant pas à vivre de leur terre mais refusant d'y renoncer.
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★★★☆
Une jolie comédie, malicieuse et vive, pleine d'autodérision mais avec aussi beaucoup de tendresse pour ses personnages. Et mine de rien, le film aborde, de façon assez fine et parfois caustique, toute une série de questions très délicates comme le communautarisme, le racisme, la religion ou l'identité culturelle…
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Babylon est une grande fresque de trois heures, virtuose, folle... et cruelle. Un film monstre, excessif, radical, très cru, qui ne plaira pas à tout le monde. Mais c'est aussi une déclaration d'amour au cinéma, qui n'occulte pas pour autant la part sombre de son industrie. Magistral.
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Très agréable mais sans surprise, Les cadors est une comédie douce-amère et tendre. L’histoire n’a rien de très original, la fin est assez convenue, mais le film combine plutôt bien les ingrédients de l’humour et de l’émotion et surtout, le duo formé par Grégoire Ludig et Jean-Paul Rouve fonctionne très bien.
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La scène d’ouverture est assez saisissante, au ralenti, sans dialogue à part quelques cris, sur un fond de musique sacrée. Le début du film est vraiment réussi, et puis le récit patine un peu, il perd beaucoup de sa tension. Heureusement, le film est sauvé par une scène finale tout à fait remarquable.
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Entre chronique intime et film de mafia, Nostalgia est un drame sur le déracinement. On suit Felice dans les ruelles de Naples comme dans le labyrinthe de son histoire, avec le sentiment d'une menace sourde, l’impression, comme dans une tragédie antique, que l’histoire va mal se terminer.
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C'est à travers le regard d'un père enrôlé avec son fils parmi les tirailleurs sénégalais que le film évoque cette page d'histoire de l'intérieur. Cela donne un hommage sobre et digne mais sans doute un peu trop sage. En centrant son récit sur cette dimension intimiste, le film perd un peu de vue son sujet.
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Un drame romantique où l'amour innocent se heurte à la haine et à l'intolérance. Une version contemporaine de Roméo et Juliette... On aurait pu craindre les clichés, le film sonne assez juste et touche au coeur !
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Un survival aux accents très politiques autour de l'accueil des migrants. Sous la forme d'un thriller glaçant et haletant, le film met en scène une traque dans la montagne qui évoque les enjeux de la crise migratoire actuelle en soulignant la violence de ceux qui refusent l'accueil.
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Une drôle de comédie décalée, un peu folle, absurde… et existentielle. Au coeur du film, la question de la peur de la mort, mais abordée à travers des dialogues surréalistes et des situations cocasses qui s’enchaînent, parfois de façon assez jubilatoire même si l'ensemble est quand même un peu touffu.
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