Le premier Avatar était un choc visuel. Le deuxième l’est tout autant ! Après la forêt, c’est maintenant l’océan de Pandora que l’on découvre. Le film fait preuve d’une inventivité visuelle sidérante, avec des scènes sous-marines sublimes de beauté et de poésie.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Plusieurs années après avoir chassé les humains de Pandora, Jake Sully a fondé une famille avec Neytiri. Ils vivent heureux dans la forêt… jusqu’à ce qu’un jour les humains reviennent, semant à nouveau le chaos. Pour préserver sa tribu, Jake est contraint de fuir au loin avec sa famille. Ils sont accueillis dans un village au bord de l’océan, avec des Na’vis différents d’eux, une culture et des coutumes différentes. Mais un vieil ennemi de Jake est bien décidé à le retrouver…
Le voici enfin, le retour tant attendu sur Pandora, 13 ans après Avatar ! C’est peu dire que le film était attendu… et disons-le tout de suite, c’est une réussite totale ! La voie de l’eau est toujours une fable écologique et humaniste, qui résonne aujourd’hui avec encore plus de force. Mais cette fois, en plus de la thématique environnementale, le film touche à d’autres thèmes comme l’immigration ou la famille. Le film est un cri d’alerte contre les dangers écologiques qui nous guettent, et un plaidoyer pour plus de fraternité et d’harmonie avec tout le vivant.
Le premier Avatar était un choc visuel. Le deuxième l’est tout autant ! Après la forêt, c’est maintenant l’océan de Pandora que l’on découvre. Le film fait preuve d’une inventivité visuelle sidérante, avec des scènes sous-marines sublimes de beauté et de poésie. C'est quand même incroyable qu'un film de science-fiction, avec sa description d'une autre planète imaginaire, réussit à nous pousser à un émerveillement renouvelé pour notre propre planète… malheureusement en danger !
Dans sa dernière partie, le film se transforme en film de guerre, pour trois quarts d'heure (c'est une estimation, je n'ai pas chronométré !) hallucinants, dans une succession de scènes d'action haletantes et folles.
Notons aussi que dans sa dimension intime et familiale, le film est empreint d'une belle émotion, en particulier dans sa conclusion où il est difficile de ne pas laisser couler quelques larmes…
D'un point de vue technique, c'est extraordinaire. Les effets spéciaux sont bluffants (on reconnaît très bien les traits des comédiennes et comédiens qui jouent les différents Na’vis), la réalisation redoutablement efficace, tant dans les scènes élégiaques et contemplatives que dans les scènes d’action hyper-rythmées. Il y a des échos évidents à la propre filmographie de James Cameron : Abyss, Titanic, Terminator… Et le réalisateur est un des rares qui sait vraiment utiliser le potentiel de la 3D.
C’est du très très grand spectacle ! Je n’ai pas vu passer les trois heures. Vivement Avatar 3… et 4,et 5 !
Tout à fait d'accord avec vous sur le fait que les images de ce second film... font qu'on a surtout envie de connaître ce qui arrive ensuite! Il s'agit bien d'une feuilleton. Vivement qu'on puisse se revoir les 5 à la suite (dans quelques années...).
RépondreSupprimerPour ma part, la 2D me suffit.
(s) ta d loi du cine, "squatter" chez dasola