Bird est une étonnante chronique sociale à la lisière du fantastique, une fable sur l'adolescence et un récit initiatique. Il est question de misère, d’errance et de violences sociales… et d’amour, malgré tout.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Bailey a 12 ans. Elle vit avec son demi-frère Hunter et son père Bug qui les élève seul dans un squat en Angleterre. Bug est obnubilé par son mariage prochain et l’argent qu’il pense pouvoir gagner grâce à un crapaud et sa bave hallucinogène. Bailey, livrée à elle-même, rencontre Bird, un jeune homme solitaire et original à la recherche de ses racines.
Bird est une étonnante chronique sociale à la lisière du fantastique, une fable sur l'adolescence et un récit initiatique. Il est question de misère, d’errance et de violences sociales… et d’amour, malgré tout.
J’ai trouvé qu’il y avait quand même quelques longueurs dans le film, et le parti pris d’une caméra pratiquement toujours à l’épaule est un peu fatigant à la longue… mais il y a aussi quelques scènes très belles, parfois même d’une puissance onirique fulgurante, et une très belle image finale.
Aux côtés de l’excellent Barry Keoghan et du toujours fascinant Franz Rogowski, des acteurs amateurs brillent et la jeune Nykiya Adams crève l’écran.
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