Comme son titre l’indique, est un film de Noël ! Un récit empreint de mélancolie, avec un soupçon d’ironie (et même de burlesque) et de poésie, dans un gentil foutoir réjouissant, un film choral foisonnant et tendre.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Dans une famille italo-américaine, comme chaque année, tout le monde se réunit pour le réveillon de Noël, dans la maison de la grand-mère âgée. Il est question, peut-être, de vendre la maison et de placer la grand-mère dans une résidence pour séniors. Pendant la fête, deux adolescentes de la famille s’éclipsent discrètement pour rejoindre des amis…
Noël à Miller's Point, comme son titre l’indique, est un film de Noël ! Mais dans le pur style d’un certain cinéma indépendant américain, que personnellement j’apprécie. C’est un récit empreint de mélancolie, avec un soupçon d’ironie (et même de burlesque) et de poésie, dans un gentil foutoir réjouissant, un film choral foisonnant (on suit bien une vingtaine de personnages différents !) et tendre, qui porte un regard amusé mais fin sur la complexité des relations intra-familiales, entre frères et sœurs, entre parents et enfants, entre adultes, adolescents, enfants…
Bien sûr on a un peu l’impression de regarder un album de famille ou une vidéo de Noël. Mais alors tournée avec un vrai regard de cinéaste, un travail de mise en scène précis, des personnages savoureux, et des thématiques universelles (certes, esquissées plus que développées) dans lesquelles on peut facilement se retrouver.
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