Deadpool fait son entrée fracassante dans le Marvel Cinematic Universe, avec son ton habituel, irrévérencieux et trash. C'est la comédie d’action méta à laquelle on pouvait s’attendre, un divertissement réjouissant et très référencé.
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Wade Wilson postule pour rejoindre l’équipe des Avengers… mais il est recalé. Alors il se résigne à mener une petite vie tranquille. Jusqu’au jour où un agent du Tribunal des Variations Anachroniques lui propose une mission digne de lui mais qui condamnerait son monde et ceux qu’il aime à être anéantis. Il refuse la mission et s’enfuit, cherchant à convaincre Wolverine de l’aider à sauver son monde.
Comme Deadpool le dit lui-même dans la scène d’ouverture, Wolverine est mort. C’est quand même un problème pour faire équipe avec lui ! Heureusement, il y a le multivers… avec un peu de chance, Wade réussira à trouver un Wolverine qui voudra bien l’aider.
Deadpool fait son entrée fracassante dans le Marvel Cinematic Universe, avec son ton habituel, irrévérencieux et trash. On retrouve les ingrédients qu’on apprécie avec ce super-héros à la grande bouche : beaucoup d’humour, assez souvent sous la ceinture, des dialogues au langage très fleuri, et qui n’hésitent pas à briser le quatrième mur, de l’autodérision à la pelle, de multiples clins d’oeil, des caméos… et des scènes d’action assez folles et sanglantes à souhait. L’histoire est rocambolesque, avec des retours inattendus, plusieurs versions de Wolverine et un paquet de versions de Deadpool.
Bref, Deadpool & Wolverine est la comédie d’action méta à laquelle on pouvait s’attendre, un divertissement réjouissant et très référencé. Mais le film a aussi une pointe de nostalgie plutôt étonnante, pour un film qui est aussi une forme d’hommage à une époque révolue, comme en témoigne les images d’archive au cours du générique de fin.
Vu au grand Rex dans la grande salle tu connais ?
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