Variation gentiment barrée du procédé de la boucle temporelle, une comédie sociale sous la forme d’une fable burlesque autour du monde du travail. Ce n'est pas le premier film à utiliser la boucle temporelle, loin de là, mais le film parvient à trouver un ton personnel, avec un humour incisif, et le scénario est suffisamment malicieux pour maintenir notre intérêt jusqu'au bout.
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Yoshikawa travaille dans une agence publicitaire. Avec ses collègues, ils ont passé la nuit sur place pour terminer un travail pour une soupe miso en tablette effervescente qui pourrait déboucher, pour Yoshikawa, sur une nouvelle embauche. Elle ne sait pas encore qu’elle est piégée avec tous ses collègues dans une boucle temporelle qui recommence chaque lundi matin.
Variation gentiment barrée du procédé de la boucle temporelle, Comme un lundi est une comédie sociale sous la forme d’une fable burlesque autour du monde du travail, en particulier dans le contexte japonais. Il y est question du sens du travail, de la place de l’ambition personnelle, du système hiérarchique, du travail d’équipe… et des tâches répétitives.
Ce n'est pas le premier film à utiliser la boucle temporelle, loin de là, mais le film parvient à trouver un ton personnel, avec un humour incisif, et le scénario est suffisamment malicieux pour maintenir notre intérêt jusqu'au bout, tout en assumant ses références, notamment l’incontournable Un jour sans fin de Harold Ramis. Le film se termine même dans l’émotion, avec une morale positive. Une jolie réussite, très plaisante.
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