Un film noir épuré mais un peu plombé par son histoire assez convenue. C'est très bien réalisé, fort bien joué, avec un Joël Edgerton tout en retenue et une partition impeccable de la jeune Quintessa Swindell, mais j'ai eu l'impression d'avoir déjà vu cent fois cette histoire, et la fin m'a déçu.
Narvel Roth est horticulteur. Il s’occupe avec soin des jardins de Mme Haverhill et mène une vie tranquille. Mais lorsque son employeuse lui demande de prendre sa petite-nièce comme apprentie, le lourd passé de Narvel, avec ses sombres secrets, refait surface.
Sur le thème de la rédemption, si cher au réalisateur, Master Gardener est un film noir épuré mais un peu plombé par son histoire assez convenue.
C'est très bien réalisé, fort bien joué, avec un Joël Edgerton tout en retenue et une partition impeccable de la jeune Quintessa Swindell, mais j'ai eu l'impression d'avoir déjà vu cent fois cette histoire, et la fin m'a déçu. Quant aux longues considérations horticoles, en voix off ou pas, elles sont un peu fatigantes et veulent donner au film une portée symbolique un peu trop appuyée à mon goût.
Sur une thématique très proche, je trouve qu'on est vraiment un cran en dessous des deux précédents films du réalisateur : The Card Counter, et surtout le fascinant First Reformed (Sur le chemin de la rédemption en VF).
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