mercredi 7 février 2024

La bête : un récit alambiqué et abscons

☆☆☆☆

La bête, vaguement inspiré d’un roman de Henry James, est une histoire d’amour impossible à travers les âges, puisque le récit couvre plusieurs vies, depuis les années 1910 jusqu’à l’année 2044. Mais je dois avouer que j’ai trouvé le récit alambiqué et abscons. Je ne suis sans doute pas assez intelligent mais je n’ai pas compris grand chose… et je me suis franchement ennuyé.

(critique complète ci-dessous ou ici)

Dans un futur proche dystopique, où l’intelligence artificielle est omniprésente, les émotions humaines sont devenues une menace. Pour s'en débarrasser, Gabrielle doit purifier son ADN en replongeant dans ses vies antérieures. Elle y retrouve Louis, son grand amour. Mais une peur l'envahit, un pressentiment : une catastrophe se prépare.

La bête, vaguement inspiré d’un roman de Henry James, est une histoire d’amour impossible à travers les âges, puisque le récit couvre plusieurs vies, depuis les années 1910 jusqu’à l’année 2044. Mais je dois avouer que j’ai trouvé le récit alambiqué et abscons. Je ne suis sans doute pas assez intelligent mais je n’ai pas compris grand chose… et je me suis franchement ennuyé. 

Déjà, il y a le point de départ du film. Suis-je le seul à le trouver… nul ? Purifier son ADN en se replongeant dans ses vies antérieures pour se débarrasser de ses émotions. Sérieux ? J’ai surtout trouvé le mélange fantastico-mystico-intello du film assez indigeste. Le film se veut audacieux et vertigineux, je l’ai surtout trouvé lent, pour ne pas dire mou, et assez prétentieux, bien trop sérieux. 

Bref, si le film est encensé par la critique, je dois bien dire qu'il ne m'a pas convaincu du tout... 

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La bête, un film de Bertrand Bonello
avec Léa Seydoux, George MacKay, Guslagie Malanda

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