Entre sourires et larmes, un très joli film porté par un formidable duo de comédiens. C’est avant tout une histoire d’amour... un amour filial entre une mère et son fils, amour contrarié par la maladie mentale. C’est un récit de retrouvailles, voire de réconciliation, un récit d’apprentissage pour découvrir comment se retrouver et continuer à s’aimer malgré la maladie.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Pierre, 33 ans, est fleuriste. Judith, sa mère, souffre de trouble bipolaire sévère. Ça fait deux ans qu’ils ne se sont pas vus. Un jour, sa grand-mère appelle Pierre pour lui dire que sa mère est chez elle : elle s’est échappée de la clinique psychiatrique. Pierre est décidé à la ramener à la clinique. Mais les choses ne vont pas se passer si facilement que cela…
Entre sourires et larmes, La vie de ma mère est un très joli film porté par un formidable duo de comédiens : William Lebghil, excellent dans un registre qu’on ne lui connaissait pas vraiment, et Agnès Jaoui, tout simplement formidable. Avec aussi de jolis personnages secondaires.
Le film parle, bien sûr, de la bipolarité, évoquant les mécanismes de la maladie et les tourments de ceux qui en souffrent, mais aussi le poids que cela représente pour les proches. Cependant, c’est avant tout une histoire d’amour... un amour filial entre une mère et son fils, un amour contrarié par la maladie mentale. C’est un récit de retrouvailles, voire de réconciliation, un récit d’apprentissage pour découvrir comment se retrouver et continuer à s’aimer malgré la maladie.
Certes, le récit est sans grande surprise mais il y a tellement de générosité et de sensibilité ! Et le ton est juste, avec beaucoup d’empathie et de tendresse pour ses personnages. Un film vraiment attachant, premier long-métrage de Julien Carpentier.
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