Le retour d’Astérix et Obélix au cinéma, cette fois sous la direction de Guillaume Canet, donne lieu à un divertissement familial sympathique, devant lequel toutefois on sourit plus qu'on rit aux éclats. L'ensemble reste quand même bien lisse et manque de mordant.
Alors que l’impératrice de Chine est emprisonnée suite à un coup d’état, sa fille, la princesse Fu Yi, s'enfuit avec la fidèle guerrière Tat Han et le marchand phénicien Graindemaïs qui les conduit jusqu’en Gaule. Ils demandent de l’aide à Astérix et Obélix qui acceptent évidemment cette nouvelle aventure. Mais de son côté, Jules César, toujours assoiffé de conquête, prend lui aussi avec son armée la direction de l’Empire du Milieu.
Le retour d’Astérix et Obélix au cinéma, cette fois sous la direction de Guillaume Canet, donne lieu à un divertissement familial sympathique, devant lequel toutefois on sourit plus qu'on rit aux éclats. L'ensemble reste quand même bien lisse et manque de mordant.
Le film est une grosse production, et ça se voit : décors et costumes impressionnants, casting assez fou. Le scénario, sans grande originalité, multiplie les clins d'oeil, les traits d'humour et les baffes… sans toujours convaincre.
Il faut reconnaître toutefois quelques réussites comme Gilles Lellouche en Obélix ou Vincent Cassel en Jules César, la scène avec les pirates ou les références au cinéma chinois. La pléiade de guests qui jalonnent le film n'apporte pas forcément grand chose (même si, contre toute attente, le personnage de Zlatan Ibrahimovic ne fonctionne pas si mal)...
Bref, en ce qui concerne les adaptations au cinéma d'Astérix, Alain Chabat reste indétrônable. Et de loin.
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