★★★☆
The Duke est un bien joli film, plein d’optimisme et de générosité, une comédie sociale légère et malicieuse, so british, teintée de nostalgie façon sixties.
(critique complète ci-dessous ou ici)
En 1961, Kempton Bunton, un sexagénaire, simple chauffeur de taxi, homme de conviction et de principes quelque peu fantasque, vole à la National Gallery de Londres le portrait du Duc de Wellington peint par Francisco de Goya. Ses revendications pour rendre le tableau sont simples : exonérer les personnes âgées de la redevance télévisuelle !
Cette histoire rocambolesque est pourtant bien basée sur un vrai fait divers étonnant ! Il s’agit du récit de la seule œuvre dérobée dans l’histoire de la National Gallery, un vol perpétré par un inoffensif sexagénaire devenu soudain l’homme le plus recherché par la police, persuadée d’avoir affaire à du travail de cambrioleur professionnel.
The Duke est un bien joli film, plein d’optimisme et de générosité, une comédie sociale légère et malicieuse, so british, teintée de nostalgie façon sixties. Même si la réalisation est classique, les dialogues sont souvent savoureux (pendant le procès !) et les personnages attachants. La composition exquise de Jim Broadbent et Helen Mirren, dans le rôle du couple au coeur du récit, est pour beaucoup dans la réussite du film.
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The Duke, un film de Roger Michell
avec Jim Broadbent, Helen Mirren, Fionn Whitehead
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