lundi 27 janvier 2020

Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part : un mélo familial, avec des intentions généreuses mais un trop plein de bons sentiments

Aurore fête ses 70 ans, entourées de ses 4 enfants. Il y a Jean-Pierre, l’aîné, qui a un peu pris la place du chef de famille depuis la mort de leur père ; Juliette, enceinte de son première enfant à 40 ans et qui espère encore pouvoir devenir écrivain ; Margaux, photographe, qui est l’artiste de la famille ; et Mathieu, le petit dernier, qui a du mal à se libérer de ses angoisses, y compris pour séduire sa collègue de bureau dont il est amoureux.

Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part est librement inspiré d’un recueil de nouvelles d’Anna Gavalda, que le scénario tente de relier en une seule histoire… et je trouve que ça se sent. L’histoire est un peu décousue. Ca donne un mélo familial, avec des intentions généreuses mais un trop plein de bons sentiments. Le film se veut touchant, et tout finit un peu par dégouliner, y compris la musique.

A retenir surtout : la prestation sensible de Jean-Paul Rouve.

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