On retrouve le même ton bon enfant teinté de nostalgie de la saga, avec son ambiance sonore pop, un film bourré d’action et d’humour, d’une inventivité visuelle assez folle et très réjouissante. Avec, en plus cette fois, une bonne dose d’émotion pour dire au revoir comme il se doit à tous ces personnages auxquels on s'était attaché.
(critique complète ci-dessous ou ici)
Star-Lord et ses amis ont désormais leur QG sur Knowhere. Alors que Peter Quill est toujours anéanti par l’absence de Gamora, ils sont attaqués par Adam Warlock. Au cours de l’attaque, Rocket est gravement blessé et pour le sauver, les Gardiens de la galaxie vont devoir affronter Le maître de l’évolution (High Evolutionary), celui qui avait jadis “créé” Rocket.
Voilà, c’est fini ! On ne devrait plus revoir les Gardiens de la galaxie au cinéma… et le cycle se termine en beauté avec cette conclusion pleinement réussie. En fait, depuis quatre ans, on avait presque oublié qu’il pouvait y avoir de bons films Marvel ! Car c’est sans aucun doute possible ce qu’on a vu de mieux dans le MCU depuis Endgame… et en plus, sans aucune incursion dans le multivers !
Autour de l’équipe habituelle des Gardiens, quelques nouveaux venus, comme le grand méchant, High Evolutionary, sorte de démiurge fou et obsessionnel, prêt à tout pour créer un monde parfait, et Adam Warlock, un super-héros hyper-puissant… et hyper-idiot.
On retrouve le même ton bon enfant teinté de nostalgie de la saga, avec son ambiance sonore pop, un film bourré d’action et d’humour, d’une inventivité visuelle assez folle et très réjouissante. Avec, en plus cette fois, une bonne dose d’émotion pour dire au revoir comme il se doit à tous ces personnages auxquels on s'était attaché. Bref, un divertissement XXL en guise de feu d’artifice final.
Comme d’habitude, le film souligne l’importance du collectif et de l’appartenance à un groupe (une famille !), mais il évoque aussi, juste en passant, des questions autour du transhumanisme ou de la souffrance animale.
James Gunn peut maintenant s'occuper totalement du DCU… et s’il a les coudées franches (comme avec son Suicide Squad), ça peut faire plus que des étincelles ! En tout cas, on le regrettera dans le MCU comme on se souviendra avec nostalgie de cette bande de personnages, tous cassés par leur histoire, et finalement surtout en quête d’amour.
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