Les rebondissements et les chausses-trappes, dans un film de ce genre, c’est bien… mais il ne faut quand même pas en abuser. Et là, c’est quand même “too much”. Trop de twists tue le twist ! Le film souffre de ce que je pourrais appeler le syndrome de La Casa de Papel : une surenchère dans les rebondissements invraisemblables, avec des personnages excessifs… D’autant que ça pourrait être ludique mais le film se prend vraiment trop au sérieux... Du coup, au bout d’un moment on décroche. C’est ce qui m’est arrivé.
Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
lundi 3 février 2020
Les traducteurs : un thriller littéraire artificiel
Neuf traducteurs sont rassemblés dans une luxueuse demeure, sans aucun contact possible à l’extérieur. Leur mission : traduire dans le plus grand secret le troisième tome d’une trilogie, véritable phénomène de la littérature mondiale. Mais un hacker publie sur Internet les dix premières pages du roman et menace de dévoiler la suite si on ne lui verse pas une rançon énorme. Mais d’où vient la fuite ?
Les rebondissements et les chausses-trappes, dans un film de ce genre, c’est bien… mais il ne faut quand même pas en abuser. Et là, c’est quand même “too much”. Trop de twists tue le twist ! Le film souffre de ce que je pourrais appeler le syndrome de La Casa de Papel : une surenchère dans les rebondissements invraisemblables, avec des personnages excessifs… D’autant que ça pourrait être ludique mais le film se prend vraiment trop au sérieux... Du coup, au bout d’un moment on décroche. C’est ce qui m’est arrivé.
Les rebondissements et les chausses-trappes, dans un film de ce genre, c’est bien… mais il ne faut quand même pas en abuser. Et là, c’est quand même “too much”. Trop de twists tue le twist ! Le film souffre de ce que je pourrais appeler le syndrome de La Casa de Papel : une surenchère dans les rebondissements invraisemblables, avec des personnages excessifs… D’autant que ça pourrait être ludique mais le film se prend vraiment trop au sérieux... Du coup, au bout d’un moment on décroche. C’est ce qui m’est arrivé.
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