Troisième film de la franchise A couteaux tirés, Wake Up Dead Man représente tout ce qu’on peut aimer dans un whodunit (un film à enquête avec de nombreux suspects).
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Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
Troisième film de la franchise A couteaux tirés, Wake Up Dead Man représente tout ce qu’on peut aimer dans un whodunit (un film à enquête avec de nombreux suspects).
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Un étrange conte écolo-anarchiste, doucement surréaliste, poétique et délicieusement noir, autour d'un Don Quichotte moderne et sa valise à roulettes.
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Entre la comédie romantique et la chronique sociale, une comédie généreuse, drôle et juste dans sa première partie, mais qui pousse quand même un peu trop le bouchon dans sa partie médiane.
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La reconstitution historique est minutieuse mais la mise en scène austère et le récit pas toujours vraisemblable laissent un sentiment mitigé.
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Un vrai-faux docu-fiction, une satire caustique et loufoque, politiquement incorrecte, qui entend pourfendre les dérives identitaires de tout poil.
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Dans la première moitié du film, on retrouve quelque chose de l’esprit de Canto Uno. Et puis soudain le récit bascule, et le film devient un mauvais mélange de thriller et de comédie.
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Un film avec beaucoup de douceur et de sensibilité, dans une histoire qui sonne juste, une chronique familiale réaliste et touchante, qui refuse toute surenchère lacrymale.
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Une magnifique épopée intime, mais l’épopée d’un anonyme. Non pas un héros mais un simple homme, découvrant la beauté et la cruauté de la vie. C’est triste, contemplatif et d’une beauté à couper le souffle.
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Un jeu de piste pas désagréable à regarder, malgré une histoire un peu alambiquée…
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Fidèle à l’esprit de son réalisateur, Bugonia est une fable caustique, misanthrope et grand-guignolesque, qui ravira les fans… et donnera des boutons aux allergiques de Yorgos Lanthimos.
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L’histoire, évidemment, est terrible et bouleversante. Toutefois, c’est le dispositif qui interroge... et je l'ai trouvé artificiel.
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Un pur film d’action, qui transpire la testostérone, et qui enchaîne les courses poursuites, les fusillades et les affrontements de tout genre. Efficace, même si c’est un peu basique.
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Sur un sujet pourtant délicat, Scarlett Johansson propose, pour sa première réalisation, un film tendre et sensible, aux accents de comédie, et qui se termine en mélodrame bienveillant.
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Avec une précision documentaire et dans un dispositif d’une grande sobriété, Dominik Moll nous entraîne aux côtés de l’IGPN. Anti-spectaculaire, le récit de l’enquête est pourtant haletant, tout en décrivant la posture compliquée des enquêteurs de l’IGPN.
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Un film éprouvant mais nécessaire autour de la question des violences familiales et de l’inceste. Avant tout un film de dialogues, où la place centrale est aux paroles des uns et des autres. Et c’est bien là tout l’enjeu du film.
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Un solide thriller politique, une fiction proche du réel pour évoquer l’Egypte d’aujourd'hui, avec une intrigue entraînant le personnage principal dans un engrenage dont il ne peut s’extraire.
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Du Jura au Groenland, un film tendre et mélancolique, aux accents existentiels. Il y a des scènes de comédie mais le film est avant tout délicat, un peu décalé et poétique.
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Une fable baroque et romantique somptueuse, cruelle et triste, profondément émouvante. C’est un conte horrifique et métaphysique d’une beauté à couper le souffle sur la vie et la mort, la nature humaine, la solitude, le pardon...
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Avec des plans admirablement construits, une fable politique aride et implacable, un véritable cauchemar bureaucratique, kafkaïen, pour un récit glaçant du totalitarisme.
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Un film de potes, très drôle, qui joue aussi la carte de la nostalgie sans perdre pour autant de son mordant.
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Il y a quelque chose de tragi-comique dans le film, entre la satire politique et la fable cruelle. A coup sûr, c’est une histoire qui méritait d'être racontée !
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L'intérêt du film est d'abord dans la réalisation tendue, au plus proche des acteurs, parfois viscérale. Ensuite dans l'interprétation impressionnate de Dwayne Johnson.
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Il y a d’abord quelque chose de l’ordre de la comédie dans le film, avec des personnages hauts en couleurs et des dialogues acérés. Mais le récit est aussi, et de plus en plus au fil du film, celui d’une vraie tragédie familiale.
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Une adaptation du célèbre roman d’Albert Camus d’un point de vue post-colonial. On le perçoit dès la scène d’ouverture et jusqu'à la dernière image. L’énigme Meursault demeure. Le film ne cherche pas à le résoudre et préserve son mystère.
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Le film est certes un thriller haletant mais ce n’est pas un film catastrophe. C’est un cri d’alerte inquiet, glaçant, contre la prétendue dissuasion nucléaire, qui résonne de manière particulière dans le contexte géopolitique actuel.
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Les limites déjà perçues dans le premier film se font encore sentir, sans doute de façon plus marquée encore. A la fin du film, on a l’impression qu’il ne s’est rien passé de significatif…
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Un conte fantastique d’abord insolite et amusant, qui prend petit à petit de la profondeur philosophique. Le film est généreux, assumant pleinement son genre fantastique.
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Adaptation du roman autobiographique de Fatima Daas, La petite dernière est un film sensible et fort, un récit d’apprentissage sur le fil, qui se montre à la fois pudique et cru.
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Évidemment, c’est très bien joué, notamment par François Civil et Nadia Tereszkiewicz… mais il faut avouer qu'on s’ennuie un peu dans ce mélodrame poussif.
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Les scènes d’action sont certes efficaces mais le scénario pèche par un manque d’originalité. Par ailleurs, tout va trop vite et on reste trop en surface...
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Un film sensoriel et assez éprouvant, qui évoque les traces indélébiles de l’inceste et des violences sexuelles. Un premier film assez ambitieux sur la forme, et plutôt prometteur, malgré ses quelques excès et maladresses.
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Comme je suis allé voir le film avant tout pour son univers visuel, ça va. Mais je n’aurais pas été contre un scénario un peu plus consistant quand même !
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Le film est certes un hommage à Jean-Luc Godard et la Nouvelle Vague, mais surtout, il est finalement une ode vibrante au cinéma et à la liberté de l’artiste.
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Hyper spectaculaire et efficace. La caméra est immersive, le gigantesque feu devient un véritable monstre indomptable et meurtrier. Au passage, le film envoie également et clairement un message d’alerte
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Un film de résistance. Une résistance politique au régime politique iranien mais aussi une résistance morale au désir de vengeance et à la tentation de la violence.
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Un film assez fou et véritablement inclassable, qui mélange les genres avec une impressionnante maestria. Tout simplement un grand film américain. Un grand film tout court… qui procure un immense plaisir de cinéma.
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Une chronique familiale au ton original, à la fois trépidante et douce-amère, aux accents féministes, dans le Taiwan d’aujourd'hui, entre tradition et modernité.
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Un portrait tout en nuances d’un jeune homme qui doit faire face de façon soudaine à la maladie. Un joli film, sensible et juste, pudique.
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Derrière son apparence de vaudeville moderne déjanté, Libre échange est en réalité une vraie comédie romantique... Le film est surtout très drôle, avec des accents burlesques des plus réjouissants.
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Un survival intime aux accents apocalyptiques, un road trip métaphysique dans le désert, une sorte de Mad Max hypnotique et méditatif... Mais c’est aussi un film imprévisible, qui réserve quelques chocs sidérants.
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Le film choisit la pudeur et l’épure, les silences et les non-dits, les zones grises, pour traduire la part de mystère qui accompagne tout processus de réparation et de reconstruction après un deuil.
La journée d’une infirmière à l’hôpital aujourd’hui, filmée comme un thriller. C’est à la fois très réaliste et haletant, pour un film profondément humain.
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