Troisième film de la franchise A couteaux tirés, Wake Up Dead Man représente tout ce qu’on peut aimer dans un whodunit (un film à enquête avec de nombreux suspects).
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Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
Troisième film de la franchise A couteaux tirés, Wake Up Dead Man représente tout ce qu’on peut aimer dans un whodunit (un film à enquête avec de nombreux suspects).
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Un étrange conte écolo-anarchiste, doucement surréaliste, poétique et délicieusement noir, autour d'un Don Quichotte moderne et sa valise à roulettes.
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Entre la comédie romantique et la chronique sociale, une comédie généreuse, drôle et juste dans sa première partie, mais qui pousse quand même un peu trop le bouchon dans sa partie médiane.
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La reconstitution historique est minutieuse mais la mise en scène austère et le récit pas toujours vraisemblable laissent un sentiment mitigé.
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Un vrai-faux docu-fiction, une satire caustique et loufoque, politiquement incorrecte, qui entend pourfendre les dérives identitaires de tout poil.
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Dans la première moitié du film, on retrouve quelque chose de l’esprit de Canto Uno. Et puis soudain le récit bascule, et le film devient un mauvais mélange de thriller et de comédie.
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Un film avec beaucoup de douceur et de sensibilité, dans une histoire qui sonne juste, une chronique familiale réaliste et touchante, qui refuse toute surenchère lacrymale.
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Une magnifique épopée intime, mais l’épopée d’un anonyme. Non pas un héros mais un simple homme, découvrant la beauté et la cruauté de la vie. C’est triste, contemplatif et d’une beauté à couper le souffle.
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Un jeu de piste pas désagréable à regarder, malgré une histoire un peu alambiquée…
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Fidèle à l’esprit de son réalisateur, Bugonia est une fable caustique, misanthrope et grand-guignolesque, qui ravira les fans… et donnera des boutons aux allergiques de Yorgos Lanthimos.
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