Un drame poignant, délicat et pudique, tout en non-dits et en sous-entendus. L’intrigue se révèle lentement, enrichie de quelques flashbacks éclairants, pour essayer de comprendre le fardeau que porte Bill.
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Mes critiques n'engagent que moi, elles sont forcément un peu subjectives... le cinéma, c'est d'abord de l'émotion !
Un drame poignant, délicat et pudique, tout en non-dits et en sous-entendus. L’intrigue se révèle lentement, enrichie de quelques flashbacks éclairants, pour essayer de comprendre le fardeau que porte Bill.
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Une joyeuse comédie, très agréable. Elle est même vraiment réussie dans sa première partie, alerte et pleine de fantaisie, même si le film s'essouffle un peu dans sa deuxième moitié.
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Une comédie romantique très contemporaine par les thèmes qu’elle aborde, et assez irrésistible par ses dialogues acérés et le rythme de ses vannes. Et comme toute bonne comédie romantique, le film sait aussi se montrer sensible et tendre.
Tout l’intérêt du film réside dans le regard subjectif, où la frontière entre la réalité et l’imagination est poreuse et incertaine. Hugo se construit une perception d’une réalité insupportable, qu’il ne peut pleinement comprendre, sur la base de ce qu’il entend et aperçoit depuis le placard où il est caché.
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Un joli film, plein de douceur et de tendresse, drôle et émouvant. La musique est certes trop présente, et assez sirupeuse, mais le récit, lui, reste sobre et pudique.
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Une façon audacieuse d’évoquer l’histoire et la culture afro-américaine, la ségrégation et le racisme, par le biais du film de genre, en l’occurrence le film de vampire. C’est sanglant, viscéral et gore. Ça déménage, et ça ne manque pas de panache !
Une comédie sociale doucement sarcastique. Sur le ton de la fable, forçant un peu le trait, le film s’amuse à chambouler les conventions de genres avec un regard moqueur.
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Une ode au pastoralisme, avec une certaine idée du rapport à la nature, ni idyllique ni désenchanté. Cette chronique rurale et montagnarde, qui touche par sa simplicité et son authenticité, s’enrichit aussi de plusieurs niveaux de lecture possible.
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Un film perturbant, dans un magnifique écrin noir et blanc. Le récit est éprouvant, et évoque la misère humaine, dans toute sa noirceur.
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Autour d’une famille atypique, Mikado est un joli film, qui trouve le ton juste, sensible et pudique, sans pathos, pour raconter cette histoire qui interroge la parentalité, la normalité et les blessures de l'enfance.
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L’intention initiale, intéressante, se perd dans la surenchère, le mauvais goût et des longueurs du scénario qui rendent le film finalement assez fatiguant...
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Un film sur la douleur de vivre, la solitude, la dépression. Un film infiniment triste, mais aussi très beau, qui évoque les souffrances et la détresse qui se cachent parfois derrière les murs d’un pavillon de banlieue paisible…
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Librement inspiré de sa propre expérience, Hélène Merlin réalise, pour son premier long-métrage, un film sobre, pudique mais fort, sur le sujet douloureux de l'inceste. Le film est, certes, dérangeant mais nécessaire.
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