Un divertissement efficace et spectaculaire, et il ne s’agit sans doute pas d’en attendre beaucoup plus pour un septième film d’une franchise, inégale, qui a été initiée par Spielberg. Gareth Edwards aime filmer les monstres et il le fait très bien.
(critique omplète ci-dessous ou ici)
Plus de trente ans après la réintroduction des dinosaures dans Jurassic Park, la plupart d’entre eux a disparu à cause de l’environnement de la planète, et les spécimens qui subsistent vivent dans des zones équatoriales isolées. Un groupe pharmaceutique monte une opération clandestine pour récupérer le sang de trois dinosaures dont l’ADN pourrait permettre la fabrication d’un remède miracle, promesse de profits astronomiques.
A défaut d'être très original, Jurassic World - Renaissance est un divertissement efficace et spectaculaire, et il ne s’agit sans doute pas d’en attendre beaucoup plus pour un septième film d’une franchise, inégale, qui a été initiée par Spielberg.
On est en terrain connu sur cette île perdue au milieu de l’océan et peuplée de dinosaures, même si cette fois il y a des mutants issus d'anciennes expérimentations. On retrouve les codes d’un survival et d’un film de monstre, les personnages types habituels, et les références et clins d’oeil à la franchise.
En revanche, Gareth Edwards aime filmer les monstres et il le fait très bien. C’est lui qui avait relancé de main de maître la franchise Godzilla et j’ai cru percevoir plusieurs références à Monsters, son premier long-métrage (vraiment à découvrir !) En tout cas, il s’en donne à coeur joie ici et c’est souvent assez jouissif.
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